Lyon
Aéroport Lyon Saint-Exupéry, Tignes, Val Thorens, Grenoble, Les Arcs, Genève, Courchevel
+33 7 69 14 29 28 +33 4 69 96 49 00
Réservation 24h/24 - 7j/7
Aéroport Lyon Saint-Exupéry, Tignes, Val Thorens, Grenoble, Les Arcs, Genève, Courchevel
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Caractéristiques du taxi
Le conducteur d’un taxi doit être titulaire d’une autorisation de stationnement affichée sur le véhicule. Cette autorisation est rattachée à un secteur géographique dans lequel le taxi a le droit de « marauder », c’est-à-dire :
Depuis le 19 décembre 2021, l’ensemble des taxis de France a l’obligation de se connecter au registre de disponibilité des taxis, dit « Le.taxi ». Ce service public numérique gratuit réinvente la maraude. Le client peut désormais héler depuis son smartphone un taxi à moins de 500 mètres via une application de mobilité. Les taxis doivent installer une application de mobilité agréée qui met à disposition ses données de localisation fournies par le service public « Le.taxi ».Les applications de mobilité ont pour obligation d’afficher tous les taxis connectés à « Le.taxi » en toute impartialité. De plus, le choix du chauffeur est fait par le client final ou en fonction de la proximité avec le client. Enfin, s’agissant d’un outil de « maraude électronique » et non de réservation, aucun frais d’approche ne peut être facturé et le paiement se fait directement en voiture et non dans l’application de mobilité.»
Les autorisations de stationnement sont délivrées par le maire ‐ le préfet de police à Paris ‐ qui en fixe le nombre et définit la zone de « maraude ».
Le taxi doit être équipé d’équipements spéciaux du fait de son droit de « marauder » :
Les taxis peuvent prendre des consommateurs en « maraude » dans leur zone de « maraude », et seulement dans cette zone.
S’ils ont été réservés, ils peuvent cependant prendre en charge des clients partout sur le territoire national, comme les VTC, c’est-à-dire en dehors de leur zone de « maraude » . Mais attention, dans ce cas, sauf dans certaines grandes villes comme Paris ou Lyon où des forfaits réservation existent, le trajet réalisé par un taxi entre la réservation et le moment de la prise en charge du client est facturé. L’itinéraire doit être le plus court possible sauf si le passager demande expressément un autre trajet de son choix. Toutefois, le taxi ayant à sa charge les éventuels tarifs péages, il peut choisir un itinéraire sans péage ; si le passager préfère toutefois l’itinéraire à péage (car il est plus rapide par exemple), il doit l’indiquer au taxi et payer les frais de péages correspondants.
Un taxi ne peut exiger de parcourir une distance minimale.
L’itinéraire doit être le plus court possible sauf si le passager demande expressément un autre trajet de son choix. Toutefois, le taxi ayant à sa charge les éventuels tarifs péages, il peut choisir un itinéraire sans péage ; si le passager préfère toutefois l’itinéraire à péage (car il est plus rapide par exemple), il doit l’indiquer au taxi et payer les frais de péages correspondants.
Un taxi ne peut exiger de parcourir une distance minimale.
Dans sa zone de maraude, un taxi libre (dispositif lumineux « taxi » allumé) ne peut pas refuser un client sauf s’il s’agit d’une réservation ou pour motif légitime (par exemple si le véhicule est susceptible d’être sali ou détérioré en raison des passagers, objets ou animaux à transporter, à l’exception des chiens guides d’aveugle) ou s’il s’agit d’une réservation.
Les tarifs des taxis sont réglementés par l’État, en maraude comme en réservation. L’évolution des prix maximaux est fixée chaque année par le ministre chargé de l’économie. Des arrêtés préfectoraux fixent dans chaque département les différentes composantes du prix de la course en tenant compte du taux de hausse retenu annuellement.
Sauf dans des cas particuliers (forfaits), le prix du taxi n’est pas connu à l’avance. Dans tous les cas, il s’affiche en fin de course sur le cadran du taximètre, le taxi étant toutefois libre de consentir un rabais sur ce prix. Tous les ans, le taxi fait mettre à jour son taximètre pour intégrer les nouveaux prix.
Sauf dans le cas des forfaits, le prix du taxi comprend les composantes suivantes :
En cas de réservation du taxi, il est toléré que le taxi enclenche son compteur avant la prise en charge du passager, afin de prendre en compte le trajet parcouru pour se rendre au lieu de rendez-vous. Cette pratique fait l’objet d’un encadrement propre à chaque département.
Attention : en cohérence, la facturation d’un supplément réservation supplémentaire est strictement proscrite.
Conformément à la réglementation, le taximètre n’affiche jamais un montant inférieur à 7.30 € qui correspond à la somme qu’un taxi peut toujours demander au passager, même si le trajet est très court. S’il le souhaite, il peut consentir une réduction sur ce montant.
Par ailleurs, les éventuels frais de péages sont à la charge du taxi et non du passager, sauf si ce dernier a expressément demandé d’emprunter un itinéraire à péage.
A Paris, il n’existe que trois tarifs horokilométriques : outre le tarif de base (tarif A – applicable le jour, en semaine, dans Paris intramuros), s’y ajoute deux tarifs majorés (tarifs B et C) selon les circonstances (nuit, heures de pointe, week-end, dimanche matin, petite couronne, extérieur de la petite couronne).
L’ensemble des éléments pertinents est précisé sur le site de la préfecture de police (cf. Accueil > Démarches > Un particulier > Transports > Taxis parisiens).
Attention : Il n’existe pas de supplément bagage à Paris. Aucun supplément bagage ne peut ainsi être appliqué, même dans le cas des forfaits aéroports.
En outre, à Paris, en cas de réservation, la pratique de la course d’approche est strictement interdite car des forfaits réservation « immédiate » et « à l’avance » de 4 et 7€ ont été mis en place. Si vous réservez le taxi, le tarif horokilométrique (A, B ou C) ne commence à s’appliquer qu’à compter du moment où le passager entre dans le véhicule, ou si le passager a du retard, à compter de l’heure de rendez-vous. Afin de prendre en compte le trajet que le taxi a effectué pour se rendre au lieu de rendez-vous, seul le forfait réservation doit s’appliquer.
Enfin, les courses entre Paris intramuros et les aéroports CDG et Orly font l’objet de prix fixes forfaitaires qui remplacent le prix de la prise en charge et le tarif horokilométrique (les suppléments sont en sus). Un seul forfait doit être appliqué pour une même course, même pour le transport de plusieurs passagers (sans supplément bagage).
Forfaits à Paris | ||
Forfaits aéroport (montants maximums) |
Entre l’aéroport de Paris – Charles-de-Gaulle et Paris « rive droite » Entre l’aéroport de Paris – Charles-de-Gaulle et Paris « rive gauche » Entre l’aéroport de Paris-Orly et Paris « rive droite » Entre l’aéroport de Paris-Orly et Paris « rive gauche » |
53,00 € 58,00 € 37,00 € 32,00 € |
Suppléments à PARIS | ||
Suppléments (montants maximums) |
Supplément « réservation immédiate » Supplément « réservation à l’avance » BagagesPassagers additionnels (par passager à partir du 5ème passager) |
4,00 € 7,00 € 0,00 €4,00€ |
Tarif A (lampe blanche) course de jour avec retour en charge à la station.
Tarif B (lampe jaune) course de nuit, dimanche et jours fériés avec retour en charge à la station ; également applicable en cas de neige dans les départements montagneux ;
Tarif C (lampe bleue) course de jour avec retour à vide à la station.
Tarif D (lampe verte) course de nuit, dimanche et jours fériés avec retour à vide à la station ; également applicable en cas de neige dans les départements montagneux.
Particularités : la pratique du tarif neige-verglas est subordonnée aux deux conditions suivantes : routes enneigées ou verglacées et utilisation d’équipements spéciaux ou de pneumatiques antidérapants dits « pneus hiver ». Elle n’est applicable que pour la partie enneigée du trajet.
Les horaires de jour ou de nuit varient d’un département à un autre mais sont le plus souvent : jour 7h-19h ou 8h-20h – nuit 19h-7h ou 20h-8h.
En province, il existe généralement un seul tarif horaire. Certains départements prévoient toutefois une majoration du tarif horaire pour la nuit.
Les tarifs et les horaires peuvent être consultés dans le document suivant :
Le chauffeur peut refuser certains modes de paiement comme le règlement par chèque mais doit l’indiquer sur la vitre extérieure du véhicule. Il est tenu d’accepter le paiement par carte bancaire quel que soit le montant du prix de la course, et doit donc disposer dans son véhicule d’un terminal de paiement par carte bancaire visible du client et en état de marche.
Pour les courses dont le montant est inférieur à 25 euro (TTC) la délivrance d’une note est facultative, mais celle-ci doit être remise au client s’il en fait la demande. Pour les courses dont le montant est supérieur ou égal à 25 euros, la délivrance d’une note est obligatoire.
La note doit être imprimée.
Elle comprend :
a) La date de rédaction de la note ;
b) Les heures de début et fin de la course ;
c) Le nom ou la dénomination sociale du prestataire ou de sa société ;
d) Le numéro d’immatriculation du véhicule de taxi ;
e) L’adresse postale à laquelle peut être adressée une réclamation ;
f) Le montant de la course minimum ;
g) Le prix de la course toutes taxes comprises hors suppléments.
Toutefois, ailleurs qu’à Paris, les suppléments peuvent être portés de manière manuscrite sur la note. Le passager peut également demander à ce que son nom, le lieu de départ et le lieu d’arrivée soit inscrite, de manière manuscrite, sur la note.
Pour les taxis parisiens, la note doit être plus précise. Elle doit comprend le détail de chaque tarif kilométrique et chaque tarif horaire appliqué, avec la distance ou le temps correspondant.
Elle doit également comprendre les forfaits et suppléments, ainsi que leur dénomination précise, et les réductions de prix consenties.
Dans un premier temps, une démarche « amiable » auprès du transporteur ou du service clientèle compétent de votre opérateur de transport est à privilégier (conservez une copie de votre réclamation) ;
Dans un second temps, d’autres démarches amiables ou judiciaires sont possibles :
Les signalements peuvent être adressés par lettre recommandée à la mairie de la commune de stationnement du taxi et, pour les taxis parisiens, à la Préfecture de Police de Paris via le formulaire en ligne de démarche simplifiée (Taxis et VTC) ou au bureau des taxis et des transports publics – 36 rue des Morillons 75015 Paris.
Dans tous les cas pensez à communiquer :
Vous pouvez vous rapprocher du médiateur de la consommation qu’a choisi le prestataire : cf. la fiche relative à la médiation.
Les éléments ci-dessus sont donnés à titre d’information. Ils ne sont pas forcément exhaustifs et ne sauraient se substituer aux textes officiels.
ARTICLE SOURCE : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-pratique/Fiches-pratiques/Taxi
Besoin d’une solution de transport autre que les transports en commun ? Vous avez la possibilité :
À noter
Les taxis en dehors de leur zone de maraude, les VTC, les véhicules LOTI et les motos-pros doivent toujours faire l’objet d’une réservation préalable : ils ne peuvent ni être hélés dans la rue, ni stationner dans une station taxi.
Aux abords d’une gare ou d’un aéroport, ils ne peuvent attendre un client qui a réservé que dans la limite d’une durée d’une heure maximum avant la prise en charge de ce dernier (en cas de retard de l’avion ou du train), ce délai est prolongé en conséquence.
Depuis le 1er janvier 2018, les véhicules LOTI ne peuvent plus effectuer des courses dans un véhicule de moins de 10 places (place du conducteur comprise), dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants.
Pour voyager, il est également possible de recourir à des conducteurs non professionnels dans le cadre du covoiturage (voir la fiche sur le covoiturage).
Les véhicules taxis, les VTC et les véhicules LOTI sont tous des véhicules de neuf places maximum. Les motos-pros sont des véhicules à 2 ou 3 roues transportant au plus un passager.
Les véhicules taxis doivent répondre à des obligations de taille et d’ancienneté variables selon les départements.
Les VTC et les motos-pros répondent à des obligations en termes de taille, d’ancienneté et de puissance sur l’ensemble du territoire national.
Un véhicule LOTI donne lieu, tout au long de sa durée de vie, à une obligation de mise en réserve de fonds par l’entreprise. Cette réserve croît avec l’âge du véhicule, afin de s’assurer que l’entreprise est en mesure de l’entretenir dans de bonnes conditions.
En outre, un niveau confort minimale et des types de véhicules sont généralement définis par les plateformes de réservation en fonction de leur politique commerciale.
Ces véhicules disposent de signes distinctifs, qui permettent notamment de les distinguer des activités non professionnelles (covoiturage, activités illicites, etc.) :
Les conducteurs de taxis, VTC, véhicule LOTI et motos-pros sont tous des professionnels, c’est-à-dire des personnes dont le métier est de transporter des voyageurs par la route. Ils sont soumis à une visite médicale périodique.
Les conducteurs de taxis, VTC et motos-pros doivent réussir un examen avant de pouvoir exercer. Ils suivent également une formation continue tous les 5 ans au sein d’un organisme agréé par l’État. Leur casier judiciaire est vérifié (absence de condamnation pour des délits occasionnant une réduction de la moitié des points du permis, pour conduite sans permis, pour des crimes, pour des délits graves en matière de mœurs ou pour des infractions en matière de stupéfiants).
L’État délivre une carte professionnelle au conducteur laquelle doit être apposée sur le pare-brise du véhicule.
Les conducteurs de véhicule LOTI exercent leur activité sous le contrôle d’un gérant qui doit suivre une formation obligatoire de 200 heures et réussir un examen permettant d’acquérir une « attestation de capacité de transport ». Le casier judiciaire du gérant est également vérifié.
Le prix de la course
Le prix peut être connu dès la réservation ou, comme pour les taxis, calculé après la prestation en fonction du temps de trajet (durée de la prestation) et de la distance parcourue (base horokilométrique). Certaines plateformes laissent le choix au consommateur entre ces deux modes de calcul du prix.
Dans tous les cas, pour l’ensemble de ces professionnels, lorsque le montant de la course est supérieur ou égal à 25 €, le consommateur doit recevoir, avant paiement, sur papier ou par voie électronique, une note récapitulative (la note doit est également être délivrée pour les courses de moins de 25 € si le consommateur le demande).
À noter
Lorsqu’une plateforme propose un tarif horokilométrique similaire à celui des taxis, la comparaison n’est pas toujours pertinente :
Dans le deuxième cas, le prix total peut être plus élevé même si le tarif kilométrique et le tarif horaire sont inférieurs.
Dans un premier temps, une démarche « amiable » auprès du transporteur ou du service clientèle compétent de votre opérateur de transport est à privilégier (conservez une copie de votre réclamation).
Dans un second temps, d’autres démarches amiables ou judiciaires sont possibles :
Dans tous les cas pensez à communiquer :
SOURCE ARTICLE : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-Pratique/Fiches-pratiques/taxis-vtc-loti-motos-pro
La VTC est un véhicule de neuf places au plus, assurant également le transport de personnes et leurs bagages à titre onéreux.
Le chauffeur d’une VTC doit obligatoirement détenir une carte professionnelle qui atteste de ses compétences pour exercer son activité.
Le véhicule est assez luxueux puisque qu’il doit :
Pour ne pas être confondu avec un taxi il ne doit pas disposer d’un compteur horokilométrique et de dispositif lumineux extérieur.
La VTC ne peut prendre en charge un client que si son conducteur peut justifier d’une réservation préalable du client.
Elle ne peut ni stationner, ni circuler sur la voie publique en quête de clients. Par exception, une VTC peut stationner aux abords d’une gare ou d’un aéroport (ou à l’intérieur de leur enceinte) dans l’attente du client ayant réservé, mais seulement pour une durée d’1 heure maximum avant la prise en charge effective.
La réservation préalable doit pouvoir être prouvée au moyen d’un ticket de réservation (sur support papier ou électronique), comportant obligatoirement les informations suivantes :
lieu de prise en charge indiqué par le client.
L’usage des VTC se développe en France et à l’étranger avec des applications mobiles qui facilitent les commandes des clients et permettent de réduire les temps d’attente.
Les éléments ci-dessus sont donnés à titre d’information. Ils ne sont pas forcément exhaustifs et ne sauraient se substituer à la réglementation applicable.
SOURCE ANNONCE : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-pratique/Fiches-pratiques/voiture-tourisme-avec-chauffeur-vtc
Un véhicule de tourisme avec chauffeur (VTC) est un véhicule de moins de 6 ans proposant des courses à titre onéreux afin de transporter jusqu’à 8 passagers. Contrairement au taxi, un VTC a interdiction de stationner ou de circuler, en faisant des maraudes, à la recherche d’un client. Aussi, si vous voulez emprunter ses services, vous devez nécessairement effectuer une réservation préalable.
Afin qu’aucune confusion ne puisse être faite entre VTC et taxi, le Code des transports prévoit que les voitures de transport avec chauffeur soient munies d’une signalétique distinctive. Ainsi, un VTC ne peut disposer d’un compteur horokilométrique et d’un dispositif lumineux extérieur, équipements propres au taxi.
Vous envisagez d’emprunter un VTC à votre descente de l’avion ? Les VTC ne disposant pas d’autorisation de stationner, vous ne pouvez pas en trouver inopinément à l’aéroport. La seule solution qui s’offre à vous est de le réserver en amont. Le VTC est alors autorisé à vous attendre au point de rendez-vous prévu durant 1 heure maximum.
Comme précisé précédemment, toute course doit faire l’objet d’une réservation préalable. Une fois votre réservation passée par le biais d’une plateforme en ligne, vous recevez une confirmation, indiquant le lieu et l’heure de prise en charge ainsi que des éléments vous permettant d’identifier votre véhicule avec chauffeur tels que :
Pensez à vérifier ces éléments avant de monter à bord.
Lire aussi : Ce qu’il faut savoir sur le covoiturage
Souvent, le tarif que vous avez à payer est forfaitaire, indiqué au moment de la réservation, plus rarement horokilométrique donc déterminé à l’issue de la prestation.
Contrairement aux tarifs des taxis, réglementés par arrêté préfectoral, celui des VTC est librement fixé par la plateforme à laquelle vous faîtes appel. Ainsi, le prix de votre course peut faire l’objet d’une majoration pour des motifs divers pouvant entraîner une hausse de la demande, telles que des intempéries ou des grèves affectant les transports en commun.
Enfin, sachez que si le montant de votre course est égal ou supérieur à 25 € TTC la délivrance d’une facture, sur papier ou par voie électronique, est obligatoire.
SOURCE ANNONCE : https://www.economie.gouv.fr/particuliers/utilisateur-vtc-droit